Weenect fait partie du top des startups à suivre en 2017 ! Basée à Paris, Weenect est une start-up française spécialisée dans le(s) secteur(s) Electronique, Objets connectés, Internet des objets. Créée en 2013, Weenect a réalisé une levée de fonds en 2015 . Les principaux membres de l’équipe sont Adrien Harmel (retrouvez plus d’infos sur Weenect dans la base de données de startups : plus de 30.000 acteurs de la French Tech y sont référencés).
Nous avons posé cinq questions à Weenect, sur son business model, son marché, ses objectifs pour les mois à venir… Vous pouvez retrouver encore plus d’informations en consultant notre page dédiée à l’actualité de Weenect, ou sur le compte Twitter de l’entreprise.
Weenect
Création : 2013
Siège social : Ile de France
Activité(s) : Electronique | Objets connectés | Internet des objets
Equipe : Adrien Harmel …
Levée de fonds : 1 | Montant total : 1 000 000 €
Incubateur(s) / Accélérateur(s) : Incubateur Neuilly Tech | Incubateur Alcatel One Touch Accelerator | Zagatub – Accelerateur Butagaz
Interview : Weenect
Interview : Weenect
1) Pouvez-vous nous présenter votre entreprise / votre business model ?
Weenect est le spécialiste de la géolocalisation familiale. D’un côté une gamme de traceurs GPS pour les différents membres de la famille : enfants, seniors, chiens et chats. De l’autre une application iOS et Android qui permet de paramétrer et de suivre les traceurs. Les boîtiers sont équipés de cartes sim 2G pour pouvoir transmettre leurs positions.
Le business model repose sur deux flux : un flux fixe, la vente du traceur ; un flux récurrent, l’abonnement.
2) Quel est votre marché / quelles sont ses perspectives ?
Notre marché est composé de 3 sous-marchés : les enfants, les seniors et les animaux.
Pour les enfants l’objectif est d’arriver à un traceur par enfant. En faisant une analogie avec l’évolution du marché des babyphones on sait que c’est tout à fait envisageable.
Pour les seniors l’idée est de les aider à rester chez eux le plus longtemps possible, en sécurité bien sûr (9 seniors sur 10 veulent éviter les centres spécialisés). Avec le vieillissement de la population ce besoin va continuer d’augmenter.
Enfin, pour les animaux nous souhaitons éviter aux maîtres la douleur que constitue la perte d’un animal. Un animal sur trois se perdra au moins une fois dans sa vie : on peut légitimement ambitionner d’équiper au minimum le même tiers des animaux, dont les maîtres ne seront pas à convaincre de l’utilité du service.
3) Avez-vous bénéficié du soutien d’un incubateur / accélérateur ? Si oui, qu’est-ce que cela vous a apporté ?
Nous avons été accompagnés par Zagatub, l’accélérateur de Butagaz. En ayant faits partie d’autres programmes nous pouvons dire que celui-ci est le plus performant.
L’accompagnement se fait dans un vrai désir d’aider la startup à progresser : invitations à des formations sur différentes thématiques (le design, les RP, etc), événements public en commun (popup store de Noël, invitations presse, etc), ateliers co-créations (étude participative avec une communauté de familles, études quali, etc).
Avec l’ancienneté du programme vient aussi la richesse de la communauté ; nous sommes souvent réunis pour des apéros ce qui enrichit le réseau en plus d’être agréable. Le dispositif est vraiment bien fichu et s’améliore chaque année.
4) Quels sont vos projets / objectifs pour 2017 ? Prévoyez-vous de recruter ?
En 2017 nous visons un développement commercial important. Les deals sont souvent longs à signer, mais également long à activer. Je peux citer le partenariat avec Zolux, distributeur n°1 de produits animaliers en Europe, qui va porter ses fruits en cours d’année. Mais aussi des premiers contrats avec des opérateurs téléphoniques, comme Orange Belgique. Nous ambitionnons de dépasser les deux millions d’euros de CA cette année.
Côté techno nous développons l’intelligence artificelle de nos produits. L’idée est de continuer de proposer le meilleur de la technologie au meilleur prix.
Aucun recrutement n’est encore au programme, sauf peut-être pour l’équipe commerciale. Pour le reste nous sommes plutôt bien armés avec notre équipe actuelle (16 personnes).
5) Un dernier mot pour terminer cette interview ? Un conseil à donner aux jeunes entrepreneurs ?
Nous avons la chance d’être une équipe particulièrement complémentaire. A mon sens cela fait la différence dans la durée. Aussi je conseillerais de choisir ses associés avec précaution, leur impact sera sans doute plus grand sur le projet que l’idée elle-même ! 
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