Sociallymap fait partie du top des startups à suivre en 2017 ! Basée à Gardanne, Sociallymap est une start-up française spécialisée dans le(s) secteur(s) Communication, Webmarketing. Créée en 2013, Sociallymap a réalisé une levée de fonds en 2016 . Les principaux membres de l’équipe sont Florent Hernandez (retrouvez plus d’infos sur Sociallymap dans la base de données de startups : plus de 30.000 acteurs de la French Tech y sont référencés).
Nous avons posé cinq questions à Sociallymap, sur son business model, son marché, ses objectifs pour les mois à venir… Vous pouvez retrouver encore plus d’informations en consultant notre page dédiée à l’actualité de Sociallymap, ou sur le compte Twitter de l’entreprise.
Sociallymap
Création : 2013
Siège social : Provence Alpes Cote d’Azur
Activité(s) : Communication | Webmarketing
Equipe : Florent Hernandez …
Levée de fonds : 1 | Montant total : 1 200 000 €
Incubateur(s) / Accélérateur(s) : Entrepreneur Engine – Incubateur En Ligne
Interview : Sociallymap
Interview : Sociallymap
1) Pouvez-vous nous présenter votre entreprise / votre business model ?
L’entreprise Alhena a été créée en 2011, directement a la suite de mes études. Au démarrage, l’activité se voulait être celle d’une agence digitale : Création de site web, formation, web-marketing. Avec le temps, nous avons assez vite évolué vers l’édition de logiciel, en créant notamment Sociallymap, un outil d’automatisation sur les réseaux sociaux. Ce logiciel est aujourd’hui le fer de lance de l’entreprise. Nous comptons avec lui plus de 14.000 utilisateurs, de toute taille et de tout secteur : TPE, PME, Grands comptes, BtoB, BtoC…
L’entreprise est basée à Gardanne (13), et compte 12 collaborateurs.
Nous proposons aujourd’hui le déploiement de stratégies d’Employee Advocacy, de Social Selling, ou encore de Veille. Nous proposons à nos clients à la fois la solution logicielle (Sociallymap), et le conseil.
Concernant notre business model, nous proposons soit des abonnements récurrents, soit des prestations ponctuelles, selon que la prestation vendue soit ponctuelle ou suivie.
2) Quel est votre marché / quelles sont ses perspectives ?
Notre marché est très large. Nous adressons toutes les entreprises qui peuvent avoir besoin de visibilité sur le web. De par la nature même de notre outil, nous intéressons de fait les entreprises ayant une certaine taille : PME ou Grands comptes.
Sur la thématique de l’employee advocacy en particulier, nous estimons que le marché est encore jeune. Nous sommes encore dans une phase d’évangélisation, et avons devant nous de très belles perspectives, aussi bien en France qu’à l’international. Nous concentrons donc nos efforts à parfaire notre outil, et a mener des actions de commercialisation auprès de cette cible.
3) Avez-vous bénéficié du soutien d’un incubateur / accélérateur ? Si oui, qu’est-ce que cela vous a apporté ?
Nous n’avons jamais bénéficié de soutiens d’incubateurs ou d’accélérateurs. En revanche, nous avons eu des soutiens financiers, sous forme de prêts et subventions lors du démarrage, puis sous la forme de levée de fonds par la suite. Ces leviers financiers nous ont permis d’accélérer notre développement, notamment en renforçant notre équipe.
En plus de ces bénéfices « humains », le fait de passer par ces étapes de financement oblige le chef d’entreprise à prendre du recul sur beaucoup de sujets stratégiques. C’est donc une très bonne chose de passer par ces étapes. Cela structure l’entreprise. Au delà des aspects financiers, l’entreprise et son dirigeant en ressorte grandis.
4) Quels sont vos projets / objectifs pour 2017 ? Prévoyez-vous de recruter ?
Pour 2017, nous avons comme objectif de continuer a développer notre logiciel, par l’ajout de multiples fonctionnalités, ainsi que de développer notre portefeuille client. Nous avons effectivement plusieurs recrutements en cours, notamment dans le département commercial.
5) Un dernier mot pour terminer cette interview ? Un conseil à donner aux jeunes entrepreneurs ?
Si je devais donner un conseil a un jeune entrepreneur, je lui dirai de ne pas trop écouter les conseils qu’on peut lui donner. Déjà car chaque parcours est différent, et qu’il n’y a pas une seule manière de faire, et d’autre part parce que je me suis rendu compte au fil de mon parcours qu’on cherche souvent des conseils auprès de proches, qui n’ont pas les réponses, ou qui n’ont qu’une vision partielle du challenge. Ces personnes veulent aider et ont de bons sentiments, mais n’ayant pas toutes les cartes en main, les conseils sont souvent contre-productifs. Mon conseil est donc, « baisser la tête, et foncer » ! SuTzNeMmhk0″ align=center”]
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