
FoodMeUp fait partie du top des startups à suivre en 2017 ! Basée à Paris, FoodMeUp est une start-up française spécialisée dans le(s) secteur(s) Informatique, Edition de logiciels, Foodtech. Créée en 2014, FoodMeUp a réalisé une levée de fonds en 2015 . Les principaux membres de l’équipe sont Pierre Cayol (retrouvez plus d’infos sur FoodMeUp dans la base de données de startups : plus de 30.000 acteurs de la French Tech y sont référencés).
Nous avons posé cinq questions à FoodMeUp, sur son business model, son marché, ses objectifs pour les mois à venir… Vous pouvez retrouver encore plus d’informations en consultant notre page dédiée à l’actualité de FoodMeUp, ou sur le compte Twitter de l’entreprise.
FoodMeUp
Création : 2014
Siège social : Ile de France
Activité(s) : Informatique | Edition de logiciels | Foodtech
Equipe : Pierre Cayol …
Levée de fonds : 1 | Montant total : 480 000 €
Incubateur(s) / Accélérateur(s) : Incubateur Paris And Co | Incubateur Numa Sprint | Incubateur Numa Paris | Incubateur Paris And Co – Smart Food Paris
Interview : FoodMeUp
Interview : FoodMeUp
1) Pouvez-vous nous présenter votre entreprise / votre business model ?
FoodMeUp est née d’un constat : il n’existe pas de solution de gestion simple et accessible dédiée aux professionnels de la gastronomie. Difficile de suivre correctement sa rentabilité et de gérer ses approvisionnements quand on ne dispose que d’Excel… Avec FoodMeUp, nos clients peuvent accéder à leurs couts de revient pour chaque recette, visualiser leurs marges, créer des sous-recettes, visualiser les informations nutritionnelles et les allergènes, etc. Grâce un format de recette dynamique, il devient facile de planifier sa production. Une fois le besoin exprimé sur FoodMeUp, le système permet de générer automatiquement les commandes fournisseurs. Un gain de temps plus qu’appréciable quand on est avant tout passionné de cuisine, et non de gestion.
Notre business model est calqué sur celui des SaaS, avec un abonnement mensuel pour accéder au service.
2) Quel est votre marché / quelles sont ses perspectives ?
Nous ciblons tous les professionnels qui ont besoin de manipuler des données de recettes dans un contexte de production. Dans notre cas, le marché se décompose en deux catégories :
– Les grands comptes, qui ont pour la plupart des solutions développées en interne, mais qui sont généralement complexes et vieillissantes. Nous les accompagnons dans la mise en place d’un outil moderne à mettre entre les mains de leurs chefs et responsable de point de production.
– Et les restaurateurs et traiteurs indépendants qui ne sont pas encore équipés de ce type de solution.
Les perspectives sont très bonnes, puisque nous avons plusieurs projets à un stade avancé avec des grands comptes, et qu’un bon nombre d’indépendants utilise déjà notre solution en ligne.
3) Avez-vous bénéficié du soutien d’un incubateur / accélérateur ? Si oui, qu’est-ce que cela vous a apporté ?
Le premier à avoir cru en notre projet est l’accélérateur du Numa. Ça a été très utile pour challenger notre proposition de valeur et construire un premier réseau parmi les grands comptes. C’est d’ailleurs dans ce cadre que nous avons reçu notre premier financement d’amorçage.
Nous sommes aujourd’hui accompagnés par l’incubateur Smart Food Paris, créé par Paris&Co, et suivi par AcceleRise, l’accélérateur du pôle de compétitivité Vitagora. L’un comme l’autre nous donne une légitimité dans le milieu et nous permettent d’accéder aux bons interlocuteurs plus facilement.
4) Quels sont vos projets / objectifs pour 2017 ? Prévoyez-vous de recruter ?
Pour l’année 2017, notre objectif est de mettre en ligne la version 2.0 de FoodMeUp, avec de nombreuses améliorations en termes de fonctionnalités et d’expérience utilisateur.
Nous sommes aujourd’hui 15 personnes à plein temps sur le projet et nous sommes constamment à la recherche de nouveaux talents pour compléter notre équipe, notamment sur la partie technique.
Vous pouvez retrouver notre offre sur le site Welcome to the Jungle (http://www.welcometothejungle.co/companies/foodmeup)
5) Un dernier mot pour terminer cette interview ? Un conseil à donner aux jeunes entrepreneurs ?
La solution dont nous venons de parler n’est qu’un début. Elle permet avant tout de légitimer le développement plus ambitieux d’une plateforme technologique qui permettra la création de nouveaux business. Investisseurs, rendez-vous début 2018 pour notre série A.
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